Francis Cabrel
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Francis Cabrel
FRANCIS CABREL
Et voila que du sol où nous sommes
Nous passons notre vie de mortels
A chercher ces portes qui donnent
Vers le ciel
La robe et l'échelle
J'aime mieux ce monde polychrome
Où vous, vous êtes, et nous, nous sommes
Des hommes pareils
Des hommes pareils
Vers quel monde, sous quel règne
Et à quel juge sommes-nous promis ?
A quel âge, à quelle page
Et dans quelle case sommes-nous inscrits ?
Des roses et des orties
On serait des artistes immenses
Des divinités
Concidérés comme une chance
Pour l'humanité
Il suffirait qu'on apparaisse
Pour que le monde soit heureux
Mais en fait les gens nous aiment et nous laissent
Et c'est sans doute mieux
Des gens formidables
Elle a tout ce qu'elle désire
C'est une artiste n'en doute jamais
Elle peut faire tes nuits toutes blanches
Et sur tes jours le noir complet
Elle m'appartient
Sommes-nous seuls dans cette histoire
Les seuls à continuer à croire ?
Regardons-nous vers le bon phare
Ou le ciel est-il vide et creux ?
Le chêne liège
On arrivait de nulle part
On l'a serré contre nous
Ce qui ressemble au hasard
Souvent est un rendez-vous
Madame l'aventure
Est-ce que l'Europe est bien gardée ?
Je n'en sais rien
Est-ce que les douaniers sont armés ?
On verra bien
Si on me dit c'est chacun chez soi
Moi je veux bien, sauf que chez moi
Sauf que chez moi y a rien
African tour
Peut-être essaies-tu quelque part
De peindre l'amour de mémoire
De recomposer les couleurs
D'automne mourant sur un coeur
Si tu veux savoir où j'en suis
Les choses ont peu bougé depuis
Ce jour où tu as tourné le dos
Sauf peut-être l'ombre au tableau
L'ombre au tableau
Et voila que du sol où nous sommes
Nous passons notre vie de mortels
A chercher ces portes qui donnent
Vers le ciel
La robe et l'échelle
J'aime mieux ce monde polychrome
Où vous, vous êtes, et nous, nous sommes
Des hommes pareils
Des hommes pareils
Vers quel monde, sous quel règne
Et à quel juge sommes-nous promis ?
A quel âge, à quelle page
Et dans quelle case sommes-nous inscrits ?
Des roses et des orties
On serait des artistes immenses
Des divinités
Concidérés comme une chance
Pour l'humanité
Il suffirait qu'on apparaisse
Pour que le monde soit heureux
Mais en fait les gens nous aiment et nous laissent
Et c'est sans doute mieux
Des gens formidables
Elle a tout ce qu'elle désire
C'est une artiste n'en doute jamais
Elle peut faire tes nuits toutes blanches
Et sur tes jours le noir complet
Elle m'appartient
Sommes-nous seuls dans cette histoire
Les seuls à continuer à croire ?
Regardons-nous vers le bon phare
Ou le ciel est-il vide et creux ?
Le chêne liège
On arrivait de nulle part
On l'a serré contre nous
Ce qui ressemble au hasard
Souvent est un rendez-vous
Madame l'aventure
Est-ce que l'Europe est bien gardée ?
Je n'en sais rien
Est-ce que les douaniers sont armés ?
On verra bien
Si on me dit c'est chacun chez soi
Moi je veux bien, sauf que chez moi
Sauf que chez moi y a rien
African tour
Peut-être essaies-tu quelque part
De peindre l'amour de mémoire
De recomposer les couleurs
D'automne mourant sur un coeur
Si tu veux savoir où j'en suis
Les choses ont peu bougé depuis
Ce jour où tu as tourné le dos
Sauf peut-être l'ombre au tableau
L'ombre au tableau
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